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    Accueil et informations utiles

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    Une critique du livre « Les rois éphémères » du journaliste à sensation Philippe Delorme consultée sur ce lien.

     

     


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    Certains site ou comptes sur Internet entraînent la confusion.

    Ils sont issus des clubs fantaisistes qui ont tente de détourner le royaume à la mort du Prince Philippe en 2014 et tentent toujours de le faire.

    Par exemple, il ne peut exister de compte Facebook du royaume car ce support bassement vulgaire a toujours été écarté par la seule autorité du royaume.

    Seuls, Araucanie Info et le présent site Secrétariat Général d'Araucanie et de Patagonie sont les sites officiels du royaume.

    Les dissensions internes, jusqu'aux épisodes les plus récents... sont l'œuvre des anciens conseillers de 2014, ainsi que de Frédéric Luz, ainsi que du groupe Quatrebœufs, tous qui ont trahi les lois du royaume et les volontés du Prince.

     

     


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    Lettre ouverte du leader Mapuche Diego Ancalao

    Lettre ouverte

    À qui voudra écouter ma vérité

                                                           Diego Ancalao Gavilán

     

    J’écris depuis la captivité à laquelle me soumet la loi chilienne, que je respecte et à laquelle je me conforme.

    Il y a de nombreuses années, j’ai décidé de vivre comme le Mapuche que je suis, mais inséré selon les normes de la société chilienne, non seulement pour me résigner à la discrimination à laquelle nous avons été soumis historiquement, mais pour changer cette réalité de l’intérieur et avec les armes d'un travail persistant, de la conviction et de l’attachement à la vérité.

    Cependant, au-delà de la procédure judiciaire qui se déroule et dans laquelle j’ai été impliqué, je sais que beaucoup m’ont déjà condamné à la potence et ont décrété mon exil définitif de cette communauté à laquelle j’ai décidé d’appartenir. Cette situation ne m’est pas étrangère. Les Mapuches, depuis le moment même où les conquérants ont foulé nos terres, nous avons dû faire face à l’adversité et à l’horreur d’un système construit pour nous faire disparaître, ce qui, loin de nous effrayer, nous a rendus forts, éveillant dans notre peuple cette capacité de se battre pour la terre bénie où nous sommes nés.

    Je demande et j’exige mon droit, au moins, au doute raisonnable des personnes de bonne volonté et de ceux qui se sont simplement informés de cette situation par les réseaux sociaux ou la presse, sans connaître le moindre détail des faits survenus. Malcolm X avait raison quand il disait que "la presse peut te faire aimer l’oppresseur et haïr l’opprimé".

    Je demande et réclame mon droit à la présomption d’innocence, jusqu’à preuve du contraire. Mais, pour cela, je ne demande pas que l’on se fie à ma parole, mais à la voix de la justice, qui, après une connaissance approfondie des circonstances analysées, aboutira à un verdict qui doit être conforme à la loi. Dans ce scénario, je suis absolument convaincu de mon innocence et j’espère que la justice confirmera cette conviction.

    À plusieurs reprises, j’ai critiqué la détention provisoire, en particulier parce que c’est un outil juridique qui présume la culpabilité et qui permet un usage discriminatoire, en particulier lorsque le critère appliqué concerne des personnes qui souffrent déjà des effets de vulnérabilités très diverses. J’ai déjà fait référence à ce sujet à des dirigeants Mapuches présumés coupables du seul fait d’être ce qu’ils sont, de leur apparence, de leur façon de parler, de leur culture et de leurs préjugés, bien avant qu’un fait ne soit avéré. Dans mon cas, on me considère comme un danger pour des raisons qui vont bien au-delà d’un cas particulier et concernent plutôt mon histoire de défense des droits de mon peuple à exister et à être respecté dans un État qui n’est pas encore capable de reconnaître son sens profond multiculturel. 

    Ces jours d’enfermement involontaire m’ont fait parcourir ma vie personnelle et publique, dans une analyse critique et autocritique désincarnée. Dans cette réflexion, j’ai mis devant moi, ma famille bien-aimée et mon peuple Mapuche, qui sont les deux moteurs de mon existence. Permettez-moi de partager certaines de mes conclusions.

    En premier lieu, certaines personnes ont cherché à construire un certain "récit", enchaînant des faits qui ont été largement diffusés, en voulant conclure une sorte de radiographie condamnatoire de mon parcours public. Ils ont donc amalgamé une vieille querelle judiciaire, dont j’ai été acquitté, ma candidature à la présidence frustrée, les événements de la Fondation Kimun et le transfert direct de ressources dans la région des Lacs.

    Sur le premier point, je ne dirai rien, car la justice s’est prononcée à l’époque et m’a innocenté de cette situation. En ce qui concerne l’inscription de ma candidature à la présidence et étant donné que l’affaire est toujours en cours, Je dirai juste que j’ai fait l’erreur de faire confiance aux mauvaises personnes à un moment où toute mon attention était de produire une proposition de gouvernement approprié pour le Chili inégal que nous avons souffert.

    En ce qui concerne la situation actuelle, je ne peux évidemment pas me prononcer, pour ne pas entraver l’enquête en cours. Je ne fais que réaffirmer l’assurance que j’ai dans l’éclaircissement total et absolu des faits, qui prouveront ma complète innocence.

    Il me semble toutefois nécessaire de poser une question qui découle de l’application du simple bon sens. En effet, on m’accuse de fraude fiscale et de blanchiment d’argent, la question est, comment cela pourrait-il être possible pour une personne qui n’a pas reçu de fonds publics? En effet, l’institution qui a reçu des fonds fiscaux s’appelle Kimun Corporation et cette entité est présidée, représentée, dirigée et créée par Jaime Huincahue, pas par moi. Je n’ai jamais été associé, ni fondateur, ni membre du conseil, et encore moins représentant légal. Pourquoi, comment et dans quelles circonstances spécifiques ces ressources ont-elles été allouées? Le gouvernement régional de Los Lagos devrait y répondre. Comme je l’ai souligné à plusieurs reprises, mon rôle dans ce projet a été celui de coordinateur technique pendant une période limitée, et je n’ai jamais eu de rapport avec l’utilisation des ressources. C’est ce qui sera clarifié par une étude minutieuse des faits.

    Mon attitude dans cette affaire a été de coopérer pleinement avec l’enquête, au point que j’ai volontairement levé mon droit au secret bancaire, remis mon téléphone personnel et mon ordinateur à la police. Loin de ce qu’a dit le sénateur Fidel Espinoza, mon attitude a été de mettre toutes les informations dont je dispose au service de l’établissement des faits. Ce parlementaire a trouvé une tranchée misérable pour sortir de son habituel manque de pertinence, qui est de devenir un champion de la probité et de la transparence, au prix de faire payer "les justes pour les pécheurs" et accuser sans aucune discrimination toute personne qui, selon son pauvre jugement, mérite d’être jugée coupable.

    Espinoza discrédite sa fonction, l’entité qu’il représente et l’activité politique en général. Je sais que beaucoup de gens mal informés et qui se laissent aller aux apparences louent aujourd’hui leur comportement, mais ce n’est qu’une nouvelle manifestation du populisme désespéré de celui qui prétend être un acteur pertinent, Ou de personnes innocentes qui servent à sa stratégie de communication. Ce "fils illustre" d’une caste politique décadente, est celui qui non seulement nuit à la dignité de toute personne, mais surtout à la valeur de notre démocratie et au noble objectif de la bonne politique.

    D’autre part, je suis témoin du moment politique délicat que nous partageons tous.  J’ai le regret de dire que le gouvernement de Gabriel Boric n’a pas répondu aux attentes qu’il a suscitées. Je dis cela parce que je me sens en quelque sorte partie de cette déception généralisée attribuée aux nouvelles générations qui venaient changer et améliorer l’activité politique. Je suppose que mes erreurs, même si elles ont été utilisées à mauvais escient, ont contribué à créer un mauvais climat de déception, de colère et de désespoir.

    Les questions que je me pose sont... devons-nous renoncer aux principes qui nous ont conduits à chercher la transformation du Chili ? Devons-nous donner raison à ceux qui regardent aujourd’hui avec méfiance une lutte qui s’est cristallisée pendant "l'éclatement social", donnant lieu à un processus constitutionnel qui cherche un pays plus juste, plus transparent, égalitaire et inclusif? Devons-nous abandonner le pays à une droite intransigeante et brutalement conservatrice qui se présente aujourd’hui comme les sauveurs de la "patrie menacée"?

    Indépendamment des actes infructueux du gouvernement, des fluctuations du processus constitutionnel ou de la tentative permanente de disqualifier les mouvements sociaux qui cherchent à construire un pays plus juste, il ne faut pas oublier que le Chili reste un territoire d’inégalités, un reproducteur de pauvreté et un espace de coexistence qui maintient une dette historique envers ses peuples autochtones.

    Je conclurai en parlant à mes chers frères et sœurs du peuple Mapuche et du peuple du Chili. Je lui parle aussi de nombreuses personnes qui m’ont soutenu et m’ont manifesté leur affection et leur solidarité, ainsi qu’à ceux qui ont pris leurs distances, faisant partie de ceux qui m’ont déjà condamné. Je parle aussi à ma femme et à mes petits enfants, Pangue, 4 ans, et Kim, 3 ans.

    À toutes et à tous, je dis que le mot reddition n’est pas dans le dictionnaire d’un Mapuche de Purén indompté et encore moins du Lof Ancalao qui vient de la lignée des anciens guerriers.

    Je suis conscient que c’est l’un des moments les plus difficiles de ma vie, je suis également conscient que nous ne sommes pas spectateurs de l’histoire. Tôt ou tard, justice sera faite et la vérité triomphera. Aujourd’hui, avec toute la force, je peux dire que seul celui qui a cessé de se battre est vaincu. Nous ne pouvons jamais accepter qu’ils nous culpabilisent quand nous sommes innocents. Emiliano Zapata avait raison quand il affirmait que "mieux vaut mourir debout que de vivre à genoux".

    Je demande à Nguenechen de m’accorder le Newen avec lequel il nous a béni tout au long de notre noble histoire.

     

    AMULEPE TAIÑ WEICHAN, WEUWAIN!

     


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    Nous avons appris lundi l'accident survenu le 10 septembre à M. Luz.

     

    Bien que l'organisation que préside M. Luz n'ait pas de droit à s'intituler du nom du royaume, et qu'elle n'ait pas de lien avec le royaume, nous lui adressons nos vœux de bon rétablissement.

     

    Le service de presse du royaume

     

     


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    Cette année comme chaque année, c’est la tradition, des cérémonies sont commandées pour le repos de l’âme du Prince Philippe, et des Chefs de la maison royale depuis Orélie Antoine. Elles sont organisées par les Amitiés Prince Philippe, l’organe officiel créé en 2014 pour permettre de poursuivre l’œuvre du Prince, et d’honorer sa mémoire.

     

    Cette année, c’est une intention groupée, associant les grands défunts du royaume qui a été choisie, pour la messe dite pour le Prince Philippe, pour M. Patrick de La Rode, neveu d’Antoine de Tounens, et pour M. Parasiliti di Para.

     

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    Nous réorganisons nos sites et notamment nous avons transferé le nom de notre site officiel à un autre de nos sites pour permettre durant un certain temps afin d’effectuer divers travaux.


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    Plusieurs biographies résumées, en ligne, de Philippe Boiry, qui fut l’unique Prince d’Araucanie et de Patagonie et 5ème successeur d’Orélie Antoine, ont été écrites.

     

    L’Encyclopédie du XXIe S.

     

    Le site des familles royales

     

    Une bibliographie complète a été écrite sitôt après sa disparition en 2014, par M. de La Garde son neveu. Elle a été publiée par le site des familles royales, et n’est plus disponible au public.

     


  •  Du 4 août 2022  ;   publié le 18 avril 2023

     

    Les divers ordres du royaume d’Araucanie et de Patagonie, les premiers, créés par le roi Orélie-Antoine et les Ordres créés par ses successeurs le Prince Philippe (†2014) et son successeur immédiat Philippe, aujourd’hui roi Philippe, n’ont pas de lien avec la Chevalerie traditionnelle.

     

    Leur destination est de soutenir le prestige du royaume. Ils sont décernés comme des Ordres de mérite, à l’image de ce qui se pratique dans presque tous les États du monde à l’ère moderne. 

     

    Ainsi, ils ne sont pas reliés aux Ordres de Chevalerie. Ils ne constituent pas des Ordres de Chevalerie "modernes". L’usage du terme de Chevalier correspond seulement aux termes généralement rencontrés dans les Ordres de récompense existant dans les États de vieille tradition, que sont les États d’Europe.

     

     


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    Pour le public, la position du royaume d'Araucanie et de Patagonie au sujet de M. Jean-Michel Parasiliti di Para, qui porta de 2014 à 2018 le nom d'Antoine IV.

    Le royaume, en la personne de son chef, Philippe d'Araucanie et de Patagonie ( d'abord, Philippe Orllie), aujourd'hui roi d'Araucanie et de Patagonie, considérait déjà M. Parasiliti comme un grand hiérarque du royaume, pour avoir longtemps occupé la charge de Président du Conseil du Royaume, au temps de Philippe,  le Prince d'Araucanie.

    Il faut considérer comme juste, que celui qui a porté le nom d'Antoine IV soit porté dans la liste des successeurs, à une place à part, en parallèle de la succession légale et légitime, et que son nom soit marqué de manière évidente. Cela n'entraîne nulle suspension ni remise en cause des jugements qui ont établi que le processus exécuté en 2014 par le Conseil de Régence, notoirement illégal, ait pu revêtir quelque effet légal. Les actes pris, sous son autorité, ne sauraient, du fait de son inscription, être considérées comme des actes du royaume.

     

    Il convient que le nom d'Antoine IV figure dans les tableaux relatant l'histoire du royaume. (décision de 2020).


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    Les canaux de communication du royaume d’Araucanie et de Patagonie sur Internet ne passent, et n’ont jamais passé par Facebook, considéré par beaucoup comme vulgaire.

    Tout contenu paraissant sur Facebook et prétendant parler au nom du royaume est nécessairement une escroquerie.

    Les canaux du royaume sont peu nombreux. Outre le présent site du Secrétariat Francophone, le site officiel du royaume, Araucanie Info, est une parution s’exprimant en Français et publie des contenus généraux.

    Le royaume n’est pas présent sur les réseaux sociaux. 

    Les activités du royaume ne sont pas communiquées au public.

     


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    Le Successeur du Prince Philippe, connu auparavant comme Philippe Orllie, et qui a porté depuis et porte le nom de Philippe d'Araucanie, ne décerne aucun titre ressemblant à la noblesse, ni aucun titre de noblesse proprement dit à ceux qui exercent une charge au sein du royaume.

    Quant à certains titres reçus du Prince Philippe, dont nous ne donnons pas le détail, ils ont été mis en sommeil, à l'exception de ceux qui ont cessé d'être reconnus.

    Les titres aujourd’hui non reconnus, sont ceux des membres du Conseil qui se sont détournés de la fidélité au Prince Philippe et qui se sont emparés des institutions qu'il avait léguées.

    Le titre de San Pedro d'Hueyusco s'est éteint par la disparition de M. Parasiliti di Para, du fait des ordonnances de Philippe Orllie qui ont supprimé l'automatisme de l'hérédité. Désormais l’hérédité a été soumise à quelques conditions.

    Les autres titres ducaux décernés par le Prince, ceux de Duc de Boroa, et de Coronel, ne sont plus reconnus. De même, celui de Santa Cruz décerné par M. Parasiliti di Para sous le nom d’Antoine IV, et tous les autres titres, ducaux ou non, comme celui de Comte de Mataquito (porté par l’ex-Duc de Santa Cruz) portés depuis 2015 par des anciens membres du Conseil du Prince, ou par d’autres personnes, ont définitivement cessé d'être reconnus par le Chef de la maison royale.

    Seuls pourraient subsister à l’avenir, ceux qui, détenus par des personnes qui n’ont pas participé aux actes de la dissidence, pourraient être admis de nouveau, à la demande, sous réserve d’étude et d’acceptation. Ils sont de la plus grande rareté.

    Tous les titres décernés depuis par les organisations illégales, spécialement après la mort de M. Parasiliti, sont bien sûr dépourvus de tout fondement.

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    Pour rappel, les processus par lesquels les anciens membres du Conseil ont détourné la volonté du Prince Philippe et n’ont pas satisfait aux conditions élémentaires morales et juridiques qui auraient permis une succession apparemment valide bien que contestable, ou qui aurait pu être prise au sérieux, font qu’il a été suffisant, sans évoquer d’autres raisons à ce rang, de constater que les moyens accaparés par ce groupe ont cessé d’appartenir à ceux qui figuraient jusque là comme des organes du royaume.